2010年11月2日火曜日

浮世絵

    
l'estampe japonaise 
浮世絵
  
  
La Grande Vague de Kanagawa (1831) est la première des 46 estampes composant les Trente-six vues du mont Fuji, l'une des œuvres majeures d'Hokusai.
  
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Fleur Jerusalemy ou l'alliance subtile de l'estampe japonaise et du chocolat
PARIS (AFP) - 30.10.2010 17:33
 
Elle peint le Mont Fuji, les cerisiers du Japon et les samouraïs avec le talent d'un grand maître mais sa toile est un moule en silicone où naissent de luxueuses confiseries: au Salon du chocolat, les créations de Fleur Jerusalemy fascinent esthètes et gourmands.
  ・le Mont Fuji
  ・les cerisiers du Japon
  ・les samouraïs
  ・sa toileカンバス est un moule型 en silicone
  ・luxueuses confiseries主に複数形で)砂糖菓子
  ・fasciner 魅了する
  ・esthètes耽美主義者 et gourmandsくいしんぼう

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wiki
Estampe:

À l’origine, le terme estampe désignait le résultat de l’impression d’une gravure sur un bois (voir xylographie), sur métal, ou d'un dessin sur pierre. Boutard, dans son Dictionnaire des Arts du Dessin, la limitait même, en 1826, à « l'espèce de tableau » que l'on obtient par le moyen de la gravure en taille-douce.


Au Japon, la technique des couleurs, appelée nishiki-e, fut utilisée pour des imprimés à partir de 1760. Le texte était normalement monochrome, tout comme les illustrations de livres, mais la popularité croissante du ukiyo-e créa une demande pour un nombre de couleurs croissant et une plus grande complexité des techniques. Au dix-neuvième siècle, la plupart des artistes travaillaient en couleurs. Les étapes de cette évolution furent :

Sumizuri-e (墨摺り絵, « dessins imprimés à l'encre ») - Impression monochrome à l'encre noire.
 
Benizuri-e (紅摺り絵, « dessins imprimés cramoisis ») - Détails à l'encre rouge ou ajoutés à la main après le processus d'impressions : parfois réalisé en vert.
  
Tan-e (丹絵) - Détails orange utilisant un pigment rouge nommé tan.
  
Aizuri-e (藍摺り絵, « dessins imprimés indigo »), Murasaki-e (紫絵, « Dessins pourpres »), et autres styles où une autre couleur est utilisée avec, et non au lieu de, l'encre noire.
  
Urushi-e (漆絵) - Une méthode où l'encre est épaissie avec de la colle, et retouchée à l'or, au mica ou d'autres substances.
Urushi-e réfère aussi à des peintures utilisant des laques au lieu de peintures. La laque n'était pas utilisée en estampe.
 
Nishiki-e (錦絵, «estampes de brocart») - Une méthode impliquant des blocs multiples pour chaque portion de l'image, permettant un grand nombre de couleurs à utiliser pour parvenir à des images infiniment complexes et détaillées. Un bloc séparé est gravé et appliqué seulement à la partie de l'image lui correspondant. Des marques nommées kentō (見当) étaient utilisées pour le positionnement de chaque bloc.